Nous voici partis pour un périple de 13 jours et de 2.800 km à la découverte de la Namibie...
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La République de Namibie récemment indépendante est issue comme la plupart des pays africains de la colonisation européenne avec des frontières tirées parfois au cordeau ne tenant pas toujours compte des spécificités des régions ni des leurs habitants ...
Dès 1500 av. JC, Bochimans puis Khoikhoi occupent la région rejoints à partir de la moitié du 1° Millénaire par d'autres tribus bantous : les Ovambos et les Hereros notamment.
A partir de 1550, Portugais, Néerlandais, Anglais et Allemands vont se succéder pour conquérir le pays. La colonie allemande sera battue par les forces de l'Union d'Afrique du Sud en 1915 lors de la Première Guerre mondiale. Ensuite, par décision de la Société des Nations en 1920, la Namibie qui s'appelait alors Sud-Ouest Africain est placée sous tutelle de l'Afrique du Sud.
La suite de l'Histoire namibienne n'est pas simple. Sous fond d'apartheid et de luttes tribales sanglantes, l'ONU reprend le contrôle du pays et le baptise Namibie en 1968.
<=== Chief Hosea Katjiku-Ru-Rume Kutako (chef Herero de la révolution)
Après d'interminables querelles avec l'Afrique du Sud, la Namibie devient indépendante le 21 mars 1990.
<=== Monument à la mémoire de Sam Nujoma, premier président namibien.
En attendant l'arrivée de nos 6 compagnons de route, nous visitons rapidement la capitale Windhoek :
Située à 1700 m d'altitude, elle compte près de 400.000 habitants pour 2.113.000 namibiens.
Fondée en 1844, elle ne compte que peu de monuments historiques ...
Eglise luthérienne de 1910
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et a gardé une forte influence allemande ...
L'Independance Avenue (ex Kaiser Strasse) est l'artère la plus importante de la ville étonnement déserte en ce dimanche de Pâques ...
Le Parlement ...
Une belle collection de météorites ...
Nous retrouvons donc nos amis pour fêter comme il se doit les 4 x 15 ans d'Anne Marie au Joe'Beer Restaurant et déjà déguster un bon steak de Springbok, Éland ou Oryx ...
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Le lundi 28 mars 2016, en possession de nos 4 x 4, nous prenons la route du Parc National d'Etosha à quelque 500 km au Nord de Windhoek ...
... longue route donc et pique-nique à l'ombre en cours de chemin ...
Après avoir acquitté les droits d'entrée, nous pénétrons dans le Parc
et nous nous dirigeons vers le Camp de Namutoni pour y passer notre première nuit ...
... première expérience aussi du montage des tentes installées sur le toit de nos 4 x 4 ...
Comme à l'accoutumée, Jean-Marc ne se fait pas prier pour faire la tambouille ...
Bon appétit !
Il est strictement interdit de nourrir les bêtes sauvages Jean-Marc !
Pendant qu'il s'occupe devant, j'attaque par derrière ...
Après la toilette matinale, le petit dej' et le repliage des tentes, nous partons explorer le parc à la recherche de sa faune ...
A l'aide d'une carte nous remise par notre agence XOAdventures lors du briefing, nous parcourons une centaine de km autour des principaux points d'eau attractifs pour toutes sortes d'animaux assoiffés ...
Le Kudu (Tragelaphus strepsiceros)
Le Springbok (Antidorcas marsupialis)
Le Bubale (Alcelaphus buselaphus)
Le Gemsbok (Oryx gazella)
Le Gnou bleu (Connochaetes taurinus)
Le Zèbre (Equus quagga)
Combat de Springboks ...
Encore lui ... le Chacal à dos noir (Canis mesomelas)
La girafe (Giraffa camelopardalis)
Combat de girafes ...
Nous croisons un troupeau d'éléphants d'Afrique (Loxodonta africana) ...
... Il faut se méfier des mâles en chaleur ...
Mais il y a aussi les oiseaux :
L'Aigle ravisseur (Aquila rapax)
Le Monticole de roche (Monticola saxatilis)
L'Autour chanteur (Melierax canorus)
Le Calao leucomèle (Tockus leucomelas)
Le Calao à bec noir (Tockus nasutus)
L’Épervier shrika (Accipiter badius)
Le Krakoukass... euh pardon ... l'Outarde Kori (Ardeotis kori)
La Pie-grièche fiscale (Lanius collaris)
La Pie-grièche à dos roux (Lanius gubernator)
Le Rollier à longs brins (Coracias caudatus)
Le Touraco concolore (Chorythaixoides concolor)
La Tourterelle masquée (Oena capensis)
Le Vanneau armé (Vanellus armatus)
Le Vanneau couronné (Vanellus coronatus)
Le Vautour chasse-fiente (Gyps coprotheres)
La Veuve royale (Vidua regia)
Traversée du lac Etosha ... asséché ...
... et que voilà une belle journée d'observation !
Pour notre deuxième nuit à Etosha, nous nous installons au camp d’Hallali ...
... et après une presque bonne nuit, toujours le même rituel ...
... nous continuons à faire le tour des points d'eau ...
... "Ah ! qu'on est bien quand on est dans son bain" ...
Monsieur et Madame Autruche d'Afrique (Struthio camelus)
La Cigogne d'Abdim (Ciconia abdimii)
La Corneille du Cap (Corvus capensis)
Une grosse sauterelle (3 cm) (Ephippiger sp)
La Grue des paradis (Grus paradisea)
... un peu loin le Jacana à poitrine dorée (Actophilornis africanus)
Le Marabout d'Afrique (Leptoptilos crumenifer)
Le Merle litsitsirupa (Psophocichla litsitsirupa)
Le Milan à bec jaune (Milvus aegyptius)
... moins originale puisqu'elle peuple nos étangs bruxellois ...
L'Ouette d'Egypte (Alopochen aegyptiaca)
... pratique les défenses pour porter sa trompe ...
... Cohabitation ... il y en a pour tout le monde ... enfin presque ...
... même les rhinos admirent le coucher du soleil ...
Troisième et dernier camp à Etosha : Okaukuejo ...
... mais avant de nous installer et de profiter de sa piscine, nous décidons d'aller observer la faune autour d'un dernier point d'eau renseigné sur notre carte ...
... toujours un peu la même chose ...
... quoique cet Oryx a quand même un détail particulier ...
... et ces Corbeaux pie (Corvus albus) n'ont pas une plus jolie voix que les nôtres ...
... ce cadavre de girafe nous met la puce à l'oreille ...
... ça y est ! La cerise sur le gâteau ...
... le roi Lion d'Afrique (Panthera leo leo) n'était pas loin !!!
Nous pouvons enfin rentrer au camp et piquer une tête dans la piscine !!!
... Allez debout ! Départ dans 10 minutes !
... mais sur place, il y a encore quelques oiseaux à observer dont ce beau Gonolek rouge et noir (Laniarius atrococcineus)
... et ce drôle de nid HLM ...
Ce sont les Républicains sociaux (Philetairus socius) ...
... pas très farouches non plus ...
... un petit dernier pour la route ... pas facile à identifier cette femelle de Veuve royale (voir le mâle plus haut) ...
Et voila, nous quittons le Parc National d'Etosha ... après avoir montré patte blanche (normal pour des Européens ... :-)
... à la sortie quelques Himbas nous proposent quelques articles de leur fabrication ...
... mais attention, ce n'est pas parce qu'on a quitté le parc qu'il n'y a plus rien à voir ...
Direction le Sud-Ouest, ce sont quelque 200 km de piste qui nous attendent ...
De temps à autre nous rencontrons un "village" où la débrouille semble de mise ...
La densité de population de Namibie 2,6 habitants/km² pour un territoire de 842.000 km² (1,5 x la France).
Pas de chance, le magasin est fermé ...
Près de 35% de la population est au chômage.
Le pays vit essentiellement de ses mines de diamant (40% du PIB)
Nous traversons d'immenses territoires désertiques, mais aux paysages grandioses ...
... avant d'arriver au col de Grootberg ...
Notre lodge, dont les chambres sont dans de petits cabanons, se situe au sommet du canyon de la Klip Rivier qui coupe la mesa du Grootberg en deux ...
De notre chambre, nous avons un superbe panorama sur le canyon ...
Avant le souper, un guide local nous emmène faire une balade dans un reg ...
... jusqu'au coucher du soleil ...
... comment cette astéracée peut-elle survivre dans un tel milieu ?
Au matin, il faut redescendre la piste étroite et pentue ...
... en ayant bien soin d'avoir enclenché le 4x4 ...
Heureusement, en bas, un planton est chargé de faire la circulation afin que deux véhicules ne se retrouvent pas face à face ...
Nous poursuivons notre descente vers le Sud en direction de la montagne de Brandenberg ...
... au travers de paysages toujours impressionnants tels ces mesas ...
De temps à autre, quelques Botterbooms (Tylecodon paniculatus) émergent dans cet univers quelque peu hostile ...
... ou un troupeau d'autruches ...
Nous arrivons sur le site de Twyfelfontein au fond d'une vallée aride ...
... et accompagnés de notre guide, nous allons découvrir des pétroglyphes datant de 6.000 ans ...
... ce sont pas moins de 2.500 gravures rupestres qui ont été répertoriées ...
Celles-ci avaient vraisemblablement une vocation chamanique ...
... la technique consistait en un noircissage de la roche par le feu puis par la gravure au moyen d'outils en pierre ...
Remarquez l'homme-lion dont la queue se termine en main ===>
... un peu d'ombre est le bienvenu ...
Un peu plus loin, enclavé au sein de gros granits, un village de la tribu Damara a été reconstitué ...
Sur place, il nous est expliqué leur mode de vie tels la connaissance thérapeutique des plantes, la maîtrise du feu, leurs jeux et leurs danses ...
... dès le plus jeune âge ...
... le jeu du genre Awalé ...
... danse coutumière ...
Nous les quittons ...
... non sans s'être soumis aux coutumes locales ...
Nous reprenons la route vers le Brandenberg ...
... en croisant parfois quelques habitants éleveurs de chèvres ...
... ou commerçants proposant un soda dont je ne ferai pas la publicité gratuite ... :-)
... et on ne peut s'empêcher de s'arrêter de temps en temps pour admirer le panorama ...
... ou d'acheter quelques souvenirs auprès d'Himbas en bord de route ...
... Anne Marie a été adoptée ...
... certains ont sans doute dû rencontrer un éléphant du désert en chemin ...
... afin d'éviter tout parti pris... la concurrence fonctionne ...
Nous arrivons à notre prochain lodge ...
... au pied du Königstein, point culminant de Namibie avec ses 2.606 m ...
... nous sommes accueillis chaleureusement par nos hôtes ...
Le lendemain nous partons rejoindre la côte Atlantique Sud ...
Nous logeons dans un charmant hôtel de Swakopmund, la Villa Margherita ...
... où nous sommes accueillis avec thé, café et tarte au citron ...
... on nous octroie la chambre "Roméo & Juliette" ...
... avec ses 42.000 habitants, Swakopmund est la ville la plus germanophone de Namibie ...
La ville a été fondée en 1892 par des colons allemands.
120 soldats et 40 civils s'y installent et bâtissent les premières infrastructures d'un port ...
... ils vivent essentiellement de la pêche et une liaison mensuelle est établie avec l'Allemagne jusqu'en 1915 date à laquelle la ville tombe entre les mains de l'Union de l'Afrique du Sud suite à la première Guerre Mondiale ...
Au soir, nous testons les fruits de mer dans un des meilleurs restaurants de la ville en forme de bateau ...
Le lendemain, nous partons de bonne heure pour nous rendre à notre rendez-vous à Walvis Bay où nous attend un catamaran destiné à nous faire découvrir la baie ...
mais comme souvent le matin, la brume envahit la côte ...
... en attendant le départ, nous pouvons déjà observer quelques oiseaux tels :
le Pélican blanc (Pelecanus onocrotalus)
La Sterne hansel (Gelochelidon nilotica)
Le Cormoran africain (Microcarbo africanus)
... et d'autres comme :
La Méduse rayonnée (Chrysaora hysoscella)
L'Otarie à fourrure d'Afrique du Sud (Arctocephalus pusillus)
pas du tout effarouchée, mais nous allons vite savoir pourquoi ...
... à bord, le guide nous explique leur éthologie tout en les nourrissant ...
... nous découvrons ensuite la baie et ses champs d'huîtres ...
... ses colonies d'Otarie à fourrure d'Afrique du Sud (Arctocephalus pusillus)
... les jeunes s’exercent à la nage pendant que les parents paressent ...
Cet ancien phare au bout d'une bande dunaire a été acquis par un Belge qui en a fait un lodge quelque peu original ...
... nous aurons encore la chance d'apercevoir un Grand dauphin (Tursiops truncatus) ...
... mais nous aussi avions droit à un petit en-cas, pas si petit que ça d'ailleurs : huîtres, petits fours, canapés et champagne ...
... il fallait quand même nourrir ce grand gourmand qui se serait bien rabattu sur notre pitance ...
... c'est que c'est grand ces bestioles là !
Et voila encore un beau souvenir partagé ...
... à votre santé !
Après cela, pas le temps de traîner car ce soir nous logeons dans le Parc du Naukluft-Namib à 300 km de piste ...
... de sel ...
... et de sable ...
... mieux vaut garder ses distances avec celui qui vous précède ...
Nous arrivons dans un petit patelin au nom charmant ...
... le temps de faire quelques emplettes ...
... de faire le plein, de passer un coup de fil et de changer de voiture ...
Encore quelques km de piste à travers le Naukluft ...
... se faire surprendre par des maisons isolées finement décorées ...
... et enfin arriver à l'entrée du Naukluft Park ...
... eh oui, il pleut parfois dans le désert ...
Dès l'entrée dans le parc, nous pouvons déjà observer le Kudu (Tragelaphus strepsiceros) ...
... et le Zèbre de montagne (Equus zebra) reconnaissable à son museau roux.
Nous sommes seuls dans le camping du parc hormis un couple de Français de Metz qui connurent quelques rapines avec les Babouins ...
Pour nous ce soir c'est le "braai" (bbq en Afrikaans) et toujours Jean-Marc aux fourneaux ...
... c'est bientôt prêt ?
Le lendemain matin avant qu'il ne fasse trop chaud, petite balade dans le parc ...
... et quelle surprise ! Il y a de l'eau ...
En effet, le plateau du Naukluft compte de nombreuses sources minérales dont certaines sont mises en bouteille.
Étonnement dans ce milieu hostile, nous pouvons observer oiseaux, animaux et diverses plantes ...
L'Astrild ondulé (Estrilda astrild)
Une Borraginacée ...
Le Botterboom (Tylecodon paniculatus)
Le Junonia hierta ssp cebrene
Le Kokerboom (Aloe dichotoma)
Le Mahali à sourcils blancs (Plocepasser mahali)
Le Moineau mélanure (Passer melanurus)
L'Oréotrague (Oreotragus oreotragus)
La Sentinelle à gorge jaune (Macronyx croceus)
Le Traquet montagnard (Myrmecocichla monticola)
Et le Daman du Cap (Procavia capensis)
très cool ...
Aujourd'hui, nous entamons notre dernière étape en Namibie, en réalité à l'origine du nom du pays, nous allons visiter le désert du Namib ...
Pour ce faire, nous logerons deux nuits dans le Desert Camp complètement isolé ...
... ce camp est constitué de bungalows en toile ...
... qui nous vaudra des nuits agitées suite à quelques violentes bourrasques de vent ...
... mais quel bonheur de goûter au joie de la piscine en plein désert ...
Nous ne perdons pas notre temps et attaquons tout de suite la visite du Canyon de Sesriem, petite ville située à 5 km de notre camp.
En effet, parfois, il y a de l'eau qui ravine petit à petit ce sol pour finir à y former un canyon de plusieurs kilomètres et dans lequel on peut s'y balader.
Nous poussons ensuite une pointe jusqu'à la dune Elim ...
... c'est l'une des premières dunes à 1,5 km à l'intérieur du parc du Namib que je ne peux m'empêcher de gravir non sans difficulté dans ce sable très fin ...
... mais l'effort est vite récompensé puisqu'on y jouit d'un superbe panorama sublimé par le coucher du soleil ...
... et la voiture de mon petit-fils Paul ... :-)
Au soir, nous devons prendre notre repas au Sossusvlei Lodge à Sesriem car il n'est pas possible de se restaurer au Desert
Camp.
Debout à l'aube pour profiter de la relative fraîcheur, nous empruntons la piste goudronnée du parc qui au bout de 65 km nous amène au salar de Sossusvlei ...
La caractéristique du désert de Namib est cette couleur orange provoquée par la présence d'oxyde de fer ...
... comme dans tout désert, la vie y est précaire et on s'étonne d'y trouver autant d'Oryx ...
... la végétation y est rare également comme ces Acacias erioloba ...
Le désert du Namib avec ses 80.900 km² est un désert côtier puisqu'il borde l'Atlantique sur plus de 1.500 km.
Il est également le plus vieux désert du monde puisqu'il date de 80 millions d'années.
Nous sommes encore victime du vent et sommes à la limite de la tempête de sable ...
... au-delà de Sossusvlei, la piste goudronnée cède sa place au sable et après une tentative infructueuse, nous préférons abandonner nos 4x4 pour prendre une navette conduite par des guides locaux afin de nous amener à Dead Vlei ...
Dead Vlei est une cuvette d'argile blanche autrefois alimentée en eau, mais asséchée suite à la formation de gigantesques dunes tout autour ...
... restent quelques arbres mort de soif ...
Les dunes aux alentours sont les plus élevées au monde (entre 300 et 400 m) ...
... nous décidons d'escalader (en partie) la plus grande : Big Daddy ...
qui avec le vent nous a permis d'avoir un peeling des jambes gratuit ...
... la descente est nettement plus facile ...
Retour vers Sesriem et petit arrêt à la dune la plus photographiée au monde : la Dune 45 parce que située au km 45 ...
Il est vrai que la présence de quelques arbres à côté de cette dune orange donne de beaux clichés ...
... qu'on n'est pas les seuls à admirer tel ce Corbeau pie (Corvus albus) ...
Retour donc vers Sesriem il n'est pas loin de midi ...
... pour une petite collation à la buvette du Parc ... rappelons que nous étions partis dès 6 h du mat' ...
Et voila, dernier petit dej' au Sossusvlei Lodge avant de reprendre la route vers Windhoek ...
La route de retour n'en reste pas moins majestueuse en paysages multiples ...
... pas toujours facile de trouver de l'ombre pour le pique-nique ...
... mais qui nous permettra encore d'admirer le Vautour oricou (Torgos tracheliotos) ...
... le Gemsbok (Oryx gazella) ...
... un troupeau de Zèbres (Equus quagga) ...
... voire un petit Gecko sp ...
C'est ainsi que s'achève ce merveilleux voyage dont j'espère que ce compte-rendu vous aura plu ou fait rêver ou encore donner envie d'y aller ...
N'hésitez pas à faire des commentaires ou poser des questions !
A bientôt ...
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